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Other Face Of The Face World

20 juillet 2009

I'm sorry é__è

Bonjour a mes quelques lecteurs -__-'

Bon je viens juste vous dire que tout va bien, que je continue l'histoire, c'est juste que pour le moment,
je suis un peu beaucoup prise et de ce fait je n'ai pas vraiment le temps pour M@Jifier (éh que ça me manque T__T)
Donc soyez tranquille, je travaille sur le prochain chapitre.
Il est plus long a arriver car j'ai décidé de changer quelques détails à ce niveau.
Pour me faire pardonner è__é je vous laisse une petite vidéo que j'adore énormément <3
ça ne fait pas parti des SIMS 2 mais quoi de plus reposant que le son d'une mélodie qui provient d'une très jolie musique...

Gros bisous à tous et bonnes vacances !

Titre : Creep
Groupe : Radiohead


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17 juin 2009

30-31

30

Le vampire se releva doucement, remit en place ses vêtements tout en regardant l’homme qui se trouvait toujours accroupi parterre. Il s’avança vers la sortie de la ruelle, sans laisser échapper un rit moqueur qui irisa l’inconnu. Le brun s’approcha de Prudence toujours allongée sur le sol froid. Il tâta son pouls qui était très faible. Sans se poser trop de question, sur quoi fait et comment, il arracha un morceau de tissus venant de sa chemise et lui mit autour de son cou pour limiter les saignements.

31

Puis délicatement il souleva le corps de la jeune fille, a peine plus lourde qu’une plume et sortit de la rue sombre, tout en faisant bien attention a ne pas croiser d’autres vampires assoiffés de sang.


Fin du premier chapitre.

17 juin 2009

26-27-28-29

26

Une fois seul, les deux hommes se regardèrent fixement sans bouger. Donnant l’impression de discuter par la pensée, mais était-ce vraiment le cas ?

« -Bah alors, tu as… perdu ta langue mon chère…ami ! Fit Squall le sourire en coin, ou cherches-tu un plan pour me tuer ? Continua-t-il en s’avançant lentement vers lui, tout en enjambant la jeune fille.

- Je n’ai pas besoin de plan pour te tuer… mais juste un pour te torturer comme tu m’as torturé.

- Me torturer ?! Je vois… ça me plait assez. Sourit ce dernier. »

27

Squall était près de l’individu, il le scrutait de haut en haut toujours en affichant ce petit sourire de mépris tandis le brun restait de marbre devant ce qui était pour lui son plus grand ennemis. Bien qu’il ait de la rancune pour ce vampire, il restait calme, préférant s’occuper de l’état de la jeune fille. Même si au fond de lui, il était trop tard pour la sauver.

«  - Que veux-tu me dire, Squall ? Je n’ai pas de temps à perdre avec toi !

 - Ah bon….. Oh je vois, tu voudrais… la sauver ? Mais il est trop tard….. elle a été mordu, maintenant il ne reste plus qu’a attendre que la transformation se fasse. Ça aurait été beaucoup moins drôle de la tuer, surtout que tu es là maintenant pour revivre ce spectacle que tu as vécu il a 4 ans …. J’en ai larme à l’œil, si je pouvais pleurer, je le ferais tout en m’amusant. Car c’est tellement hilarant de voir ton visage de dégoût se planter dans mon regard…. »

28

L’homme se jeta sur le vampire pour le faire taire mais surtout parce qu’il était a bout de force. Ces mots, ces souvenirs, tout lui donnait la rage de tuer ces êtres ignobles. Il était là, sur lui, les mains autour de son cou, il serrait fort, même si ça ne servait strictement à rien. Il serrait, serrait à en avoir mal au bras, mais l’être des ténèbres ne donnait pas l’impression de souffrir, au contraire, il souriait.

29

« - Tais-toi, sale monstre ! Un jour… et je t’en fais la promesse, un jour je vous tuerais tous ! Cracha-t-il avec une grande haine.

-   Bouh ouh, mais arrête, je vais mouiller mon pantalon si tu continues…..

- Tu regretteras ce que tu m’as fait… je te le ferais regretter. Les monstres comme toi, n’ont pas de place sur cette terre ni au paradis, tu pourriras en enfer comme tous les autres de ton espèce.

- Je n’ai pas peur de tes menaces, ni de l’enfer d’ailleurs, j’attends Lucifer avec impatience, vois-tu ?! Ironisa Squall toujours d’un calme olympique.

- Dégages, DEGAGES, CASSE-TOI ! Cria l’individu hors de lui. »

1 juin 2009

24-25

24

Cette fois le vampire montra un visage contraint d’obéir. Il soupira longuement avant de donner l’ordre à Jay de la libérer.  

« - Jay, lâche-la. »

C’était sans ménagement que Prudence fût libérée de son agresseur. Et se fut dans un bruit sourd que son corps percuta le sol de brique rouge. Quelques seconde après une marre de sang, provenant de son cou, se dessina sur le sol.

25

Jay ressui sa bouche du revers de sa main tout en regardant l’intrus qui avait interrompu son repas. Il avait reprit cet air de statuette qui ne semblait ni menaçante ni effrayant. Tandis que son frère, derrière, semblait plus irrité à présent.

« - Laisse-nous seul, Jay. J’ai trois petites choses à régler avec cet emmerdeur. »

Jay ne répondit rien, il exécuta juste l’ordre de manière automatique et se dirigea vers l’homme qui venait de sauvé la jeune brune, sans s’arrêter, ni un regard pour lui.

1 juin 2009

22-23

22

Prudence n’eut pas le temps de réagir que l’inconnu s’était approchée d’elle l’air menaçant, la seconde suivante, il s’était penchée sur elle et avec violence, l’avait attrapé pour lui mordre le cou. Elle sentit assez vite quelque chose lui transpercer. Lorsque l’homme l’avait « enlacé » sans douceur elle avait aussi été parcouru de grand frisson, c’était quelque seconde après qu’elle avait compris que l’individu avait la peau glacial. Plusieurs seconde s’étaient écoulées avant que Prudence ne ressenti plus la douleur et ne percevait plus ce qu’il y avait autour d’elle, elle n’entendit même pas la voix d’une troisième personne qui venait de derrière elle.

« - Lâchez-la ! Cria-t-il  d’une voix sûre de lui. »

23

L’agresseur qui regardait le spectacle de son ami, ne sursauta pas comme-ci il s’attendait à voir ce type défendre la jeune fille. Il affichait tout de même un air agacé de le voir devant lui ce soir.

« - Tu arrives en retard, on a commencé à dîner sans toi, ironise l’homme à la chevelure long.

- Ordonne à ton frère de la lâcher Squall !

- Sinon quoi ? Se moqua-t-il de plus belle, tu te vengeras comme tu t’es vengé pour ta jolie blonde…  il fit mine de réfléchir et reprit, a non c’est vrai, tu n’as pas encore réussit à te venger. Excuse-moi, je dois confondre avec quelqu’un d’autre. S’amusa-t-il encore plus pour le pousser hors de lui.

- La ferme ! S’emporta l’inconnu tout en ne cédant pas car il voulait sauver la fille. Je te le demande une dernière fois ordonne a ton sale vampire de frère de lâcher ! »

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1 juin 2009

20-21

20

L’homme fit un sourire narquois tout en regardant son voisin qui lui était comme de marbre. Aucune expression ne s’affichait sur son visage blanc coton. A l’examiner  de plus près, sa peau était si parfaite et blanche que l’on aurait dit une statue de cire. Ses lèvres rosées ainsi que le fait qu’il ne bougeait pas d’un poil même pas pour cligner des yeux laissait Prudence dans le doute le plus totale, à savoir qu’elle genre de créature était-il ?

« -Tu entends ça Jay ? Elle veut nous guider vers un restaurant… S’amusa-t-il pour ensuite soupirer de désolation. Elle n’a toujours pas compris que c’était elle notre dîner ! »

21

Si c’était une plaisanterie pour la jolie brune, elle était de mauvais goût. Elle regarda rapidement autour d’elle, cherchant une caméra cachée, mais lorsque sont visage revint sur ses deux agresseurs, elle vit le visage de celui en tee-shirt se déformer de colère. Surement avait-il entendu ce qu’elle pensait comme l’autre tout à l’heure mais ce qui était certain, c’était que maintenant c’était lui qui lui faisait le plus peur.

 

« -Vous êtes quoi ? Des cannibales ? Osa-t-elle demander, alarmée.

- Mieux que ça ma jolie, mieux que ça, Fit l’homme au manteau noir, les cannibales, ne sont plus à la mode de nos jours. Tandis que nous, oui… Il prit un temps arrêt, comme si il réfléchissait puis lança vers son camarade l’ordre tant attendu. Aller vas-y bouffe-la ! »

1 juin 2009

17-18-19

17

Le visage de Prudence, montrait combien elle était effrayée, si ça vie ne se déroulait pas devant ses yeux à l’instant même, elle ne pouvait pas s’empêcher de penser à ceux qui l’ont élevés dans la joie et la tendresse. Bien que ces parents l’aient adopté et toujours aimé comme leur propre fille, ce soir elle regrettait en quelque sorte de ne pas connaître ses véritables géniteurs. Elle regrettait une autre chose aussi… et cette chose était de ne pas avoir eu le bonheur d’être amoureuse au moins une fois dans sa vie.

18

Elle ne savait pas comment, mais il était sûr que ces hommes savaient ce à quoi elle pensait. Du moins celui accoudé à son copain. Il la regardait avec tant de réjouissance qu’elle en avait des frisons dans tout le corps. Et évidement, les deux hommes commençaient à trouver ça ennuyeux, car pour eux c’est toujours les mêmes réactions qu’ils avaient face à leurs victimes.

19

« - Laissez-moi partir, s’il vous plaît ! Je vous en supplie… Réussit-elle à prononcer d’une voix tremblante, tout en joignant les deux mains. Je vous donnerais tout ce que vous voulez !

- Mais c’est là le hic, expliqua l’homme aux cheveux long, tu es obligée de rester avec nous pour nous donner ce qu’on a besoin. Car vois-tu, avec les médias qui informent les gens de la ville, à ne plus sortir de chez eux une fois la nuit tombée, nous, maintenant nous n’avons plus de quoi nous mettre sous la dent.

- Si ce n’est que ça… dit-elle un temps soit peu rassurée, je peux vous indiquer un restaurant d’ouvert, même si a cette heure-ci je ne suis pas sûr qu’il y en est encore un d’ouvert. »

4 mai 2009

13-14-15-16

13

Prudence marchait dans les rues éclairées de Sidney, tête bas et les pieds lourds. Elle n’avait qu’une envie, rentré chez elle, le plus vite possible, prendre une douche et se faufiler sous la couette, bien au chaud. C’est alors, qu’elle marchait déjà depuis plus de 20 minutes, qu’elle s’arrêta devant une ruelle. Cette petite rue, mal éclairée certes mais qui lui ferait gagner plus ou moins 15 minutes sur son trajet. Elle hésita à passer par le chemin courant qu’elle prenait ou ce raccourci. Si elle n’avait pas entendu parler des 11 disparitions et des 4 corps retrouvés vidé de tout leur sang, le choix n’aurait pas été si difficile pour cette jeune femme. La plus part des corps morts avaient été retrouvé dans cette petite voie, mais les médias n’avaient jamais vraiment confirmé cela, ils avaient seulement supposé vaguement cette hypothèse. Alors que faire dans ces cas là ? Avoir peur de prendre un chemin plus court à cause d’idée surement mal fondées ? Ou fermer les yeux sur ce que disent les journalistes et gagner 15 minutes ?

« - Après tout, ça n’arrive qu’aux autres !! Pensa-t-elle tout en commençant à avancer doucement. »

14

Elle se dirigea alors dans la ruelle, plus sombre où une odeur d’ordures entassées flottait. Elle marchait d’un pas plus vif pour se dépêcher tout de même à en sortir. Quand tout à coup, un jeune homme vêtu d’un simple tee-shirt et d’un pantalon noir en jean, apparu comme par enchantement. Prudence s’arrêta net, se demandant comment il avait pu surgir aussi vite, alors que lorsqu’elle s’était engagée dans ce chemin il n’y avait personne. L’homme était appuyé contre un lampadaire tout en la regardant fixement, ce qui mettait encore plus mal à l’aise la jolie brune.

15

Elle n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche, qu’elle senti une présence derrière elle. Elle se retourna lentement et surtout prudemment, comme-ci cette dernière sentait que cela n’avait rien de bon. Prudence vit à ce moment là, un homme plus vieux, qu’elle détailla de bas en haut. Il était plus grand et habillé plus chaudement. Il avait une posture sur de lui, il lui faisait froid dans le dos. L’homme avait les cheveux et long et noir, comme ses yeux, aucune profondeur, elle ne ressentait même pas de vie dans ce regard qui lui semblait froid et menaçant. Ce fut le plus jeune qui ouvrit la bouche en premier.

« - Alors on se ballade ?

- Ce n’est pas vraiment un coin idéal pour prendre l’air. Continua le second d’une voix rocailleuse. »

16

Prudence était pétrifiée, sa mâchoire était comme sellée et ses pieds cloués au sol. Elle ne savait pas quoi faire, elle n’avait jamais vraiment été confrontée à ce genre de situation effrayante. Celle qu’on pouvait voir dans les films d’horreurs, mais qu’en tant que spectateur on ne risque rien. Là elle ne faisait pas que regarder, elle « jouait » le rôle de celle qui allait surement mourir. Alors qu’elle était ses options ? Crier ? Non, il n’y avait personnes dans les rues à cette heure-ci. Prendre la fuite ? Ils sont deux ils n’auront pas de mal a la rattraper surtout qu’elle était exténuée. L’homme a la longue chevelure s’était déplacé rapidement pour rejoindre l’autre individu. Accoudé a son épaule, il la scrutait avec amusement, car pour lui s’était un jeu, un  jeu très facile pour eux et difficiles pour les humaines et ou il n’y a pas vraiment de règle mais beaucoup de triche.

 

« - Alors, dit-il en prenant une petite pause, qui fit trembler encore plus la jeune brune, que choisis-tu ? Crier ou fuir ? »

4 mai 2009

11-12

11

Bien qu’en temps normal, Callie adorerait discuter de ce prince charmant version discount, mais ce soir là, elle coupa court la conversation pour le bien de son amie.

 

« - On continuera cette discussion lundi en cours de science, car là j’entends Morphée t’appeler ou plus tôt t’ordonner d’aller le rejoindre… Fit-elle en la prenant dans ses bras.

- Dis plutôt que tu ne veux plus de moi, ça serait plus clair. Se moqua Prudence.

- Oh mais non ma Pitchoune, répondit la rousse en serrant plus fort son étreinte, tu sais que je t’aime ma sœur de cœur…

- Bien sûr, je te taquinais. S’amusa la brune en se libérant des bras de son amie.

- A lundi ma poule. Reposes-toi bien.

- A lundi et merci encore. Répondit-elle avant de sortir du petit fast-food.  »

12

Et si ce soir là, Prudence n’était pas partie plus tôt.

Et si ce soir là, elle serait restée comme à son habitude et que s’était Callie qui serait partie.

Les choses se serait-elle déroulée différemment ?

26 avril 2009

07-08-09-10

07

Après avoir passé une tenue plus confortable, elle s’était dirigée d’un pas lent et sourd vers Callie qui s’apprêtait à nettoyer la vaisselle entassée de la journée. Prudence semblait gênée de laisser son amie finir le travail à sa place, ce n’était pas dans ses habitude. Elle, qui préférait perdre son temps a tout nettoyer correctement, contrairement a la rousse, qui faisait tout au plus vite. Elle braillait haut et fort, « vite fait, bien fait » donc quand s’était à Callie de s’en charger elle n’en avait rien à faire car s’était sur la concernée que ça allait retomber. Mais ce soir c’était son tour et si son amie bâclé le travail la brune serait responsable. Voilà ce qui la dérangeait le plus, voir son salaire diminuer.

08

« - Bon…, commence Prudence d’une voix pas très rassurée. Je suis prête….. »

Callie se retourna et attrapa un torchon qui avait mauvaise allure pour s’essuyer les mains. Elle affichait un large sourire vers sa meilleure amie qui, elle, avait l’air dépité.

« Qui a-t-il ? Tu me regarde comme-ci j’allais tuer quelqu’un !!

-Oh, euh, non, rien… Je veux juste…juste Hésita la brune tout en fixant ses pieds.

  - Bah vas-y craches le morceau…

- D’accord. Elle marqua une pause pour trouver un peu de courage et se jeta à l’eau pour vider son sac. N’oublies pas de fermer le gaz et les robinets d’eau parce que si ça goute toute la nuit ils vont avoir une grosse facture… Oh et ferme bien la porte de derrière, ah et aussi assures-toi que le jukebox soit bien éteint et ….

- ééééééh ! C’est bon là ! Ce n’est pas la première fois que je ferme ! S’amusa la rouquine.

- Oui mais toi tu fais tout a la vas-vite et moi non….

- Et bien rassures-toi ce soir je vais m’appliquer à fond pour toi. Ne t’inquiète pas, je sais à quel point ton salaire est important pour toi. Alors ce soir, je ne vais pas travailler à moitié, je te le promets. T’es soulagée ?

- Oui… enfin je crois.

- Bon alors qu’est-ce que tu fais encore dans mes pattes ? Fit-elle sur un ton plus autoritaire. »

9

Prudence n’était, a l’évidence, pas pressée de s’en aller ce qui avait pour agacer la jolie rousse qui, elle n’attendait que ça. Non pas pour être seule, mais parce qu’elle voyait son amie exténuée et que c’était très rare de la voir ainsi. Elle n’était une battante, jamais a se plaindre de quoi ce soit.

« - Bah alors ? Tu attends quoi ? Tu veux que j’appelle Monsieur pot de colle, pour qu’il t’accompagne jusque chez toi ? Demanda-t-elle en mimant une grimace qui fit sourire sa copine.

- Non merci, sans façon. Puis c’est sur toi qu’il a jeté son dévolu pas sur moi. D’ailleurs comment c’est passé ton rancard avec lui ? »

10

A voir la tête de Callie, Prudence comprit assez vite que ce rendez-vous n’avait pas été très glorieux. Le fameux pseudo gentleman qui avait pour surnom « pot de colle » n’était autre qu’un certain jeune homme, dénommé Will.  23 ans, une seule conquête à son tableau de chasse, il avait craqué un soir de forte pluie sur la rousse, en se réfugiant dans ce restaurant. Et depuis ce jour là, il passait tous les autres soirs pour boire un café et discuter avec Callie, jusqu'à ce que celle-ci accepte de passer une soirée en sa compagnie.

« - Pff, a-tro-ce ! Répondit-elle en détachant bien chaque syllabe. Franchement j’ai connu des mecs assez chiant sur les bords, mais celui là, crois-moi ou non, mais il doit avoir la médaille planquée dans sa chambre.

- A ce point ? Bah mince alors, il a l’air plutôt sympa pourtant.

- Ah ben si il te plaît tant que ça, vas-y ! Prends-le ! Moi je n’en veux plus… un soir pas deux. Lâcha la rousse toujours en grimaçant.

- Non, non merci. J’ai mes études et le travail, ça me suffit amplement. »

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