Bon je viens juste vous dire que tout va bien, que je continue l'histoire, c'est juste que pour le moment, je suis un peu beaucoup prise et de ce fait je n'ai pas vraiment le temps pour M@Jifier (éh que ça me manque T__T) Donc soyez tranquille, je travaille sur le prochain chapitre. Il est plus long a arriver car j'ai décidé de changer quelques détails à ce niveau. Pour me faire pardonner è__é je vous laisse une petite vidéo que j'adore énormément <3 ça ne fait pas parti des SIMS 2 mais quoi de plus reposant que le son d'une mélodie qui provient d'une très jolie musique...
Le vampire se releva doucement,
remit en place ses vêtements tout en regardant l’homme qui se trouvait toujours accroupi parterre. Il s’avança vers la sortie de la ruelle, sans laisser
échapper un rit moqueur qui irisa l’inconnu. Le brun s’approcha de Prudence
toujours allongée sur le sol froid. Il tâta son pouls qui était très faible.
Sans se poser trop de question, sur quoi fait et comment, il arracha un morceau
de tissus venant de sa chemise et lui mit autour de son cou pour limiter les
saignements.
Puis délicatement il souleva le
corps de la jeune fille, a peine plus lourde qu’une plume et sortit de la rue
sombre, tout en faisant bien attention a ne pas croiser d’autres vampires
assoiffés de sang.
Une fois seul, les deux hommes se
regardèrent fixement sans bouger. Donnant l’impression de discuter par la
pensée, mais était-ce vraiment le cas ?
« -Bah alors, tu as… perdu ta
langue mon chère…ami ! Fit Squall le sourire en coin, ou cherches-tu un
plan pour me tuer ? Continua-t-il en s’avançant lentement vers lui, tout
en enjambant la jeune fille.
- Je n’ai pas besoin de plan pour
te tuer… mais juste un pour te torturer comme tu m’as torturé.
- Me torturer ?! Je vois… ça
me plait assez. Sourit ce dernier. »
Squall était près de l’individu,
il le scrutait de haut en haut toujours en affichant ce petit sourire de mépris
tandis le brun restait de marbre devant ce qui était pour lui son plus grand ennemis.
Bien qu’il ait de la rancune pour ce vampire, il restait calme, préférant s’occuper
de l’état de la jeune fille. Même si au fond de lui, il était trop tard pour la
sauver.
« - Que veux-tu me dire,
Squall ? Je n’ai pas de temps à perdre avec toi !
- Ah bon….. Oh je vois, tu voudrais… la sauver ?
Mais il est trop tard….. elle a été mordu, maintenant il ne reste plus qu’a
attendre que la transformation se fasse. Ça aurait été beaucoup moins drôle de
la tuer, surtout que tu es là maintenant pour revivre ce spectacle que tu as
vécu il a 4 ans …. J’en ai larme à l’œil, si je pouvais pleurer, je le
ferais tout en m’amusant. Car c’est tellement hilarant de voir ton visage de
dégoût se planter dans mon regard…. »
L’homme se jeta sur le vampire
pour le faire taire mais surtout parce qu’il était a bout de force. Ces mots,
ces souvenirs, tout lui donnait la rage de tuer ces êtres ignobles. Il était
là, sur lui, les mains autour de son cou, il serrait fort, même si ça ne
servait strictement à rien. Il serrait, serrait à en avoir mal au bras, mais l’être
des ténèbres ne donnait pas l’impression de souffrir, au contraire, il
souriait.
« - Tais-toi, sale monstre !
Un jour… et je t’en fais la promesse, un jour je vous tuerais tous !
Cracha-t-il avec une grande haine.
- Bouh
ouh, mais arrête, je vais mouiller mon pantalon si tu continues…..
- Tu regretteras ce que tu m’as
fait… je te le ferais regretter. Les monstres comme toi, n’ont pas de place sur
cette terre ni au paradis, tu pourriras en enfer comme tous les autres de ton
espèce.
- Je n’ai pas peur de tes
menaces, ni de l’enfer d’ailleurs, j’attends Lucifer avec impatience, vois-tu ?!
Ironisa Squall toujours d’un calme olympique.
Cette fois le vampire montra un
visage contraint d’obéir. Il soupira longuement avant de donner l’ordre à Jay
de la libérer.
« - Jay, lâche-la. »
C’était sans ménagement que
Prudence fût libérée de son agresseur. Et se fut dans un bruit sourd que son
corps percuta le sol de brique rouge. Quelques seconde après une marre de sang,
provenant de son cou, se dessina sur le sol.
Jay ressui sa bouche du revers de
sa main tout en regardant l’intrus qui avait interrompu son repas. Il avait
reprit cet air de statuette qui ne semblait ni menaçante ni effrayant. Tandis
que son frère, derrière, semblait plus irrité à présent.
« - Laisse-nous seul, Jay. J’ai
trois petites choses à régler avec cet emmerdeur. »
Jay ne répondit rien, il exécuta
juste l’ordre de manière automatique et se dirigea vers l’homme qui venait de
sauvé la jeune brune, sans s’arrêter, ni un regard pour lui.
Prudence n’eut pas le temps de
réagir que l’inconnu s’était approchée d’elle l’air menaçant, la seconde
suivante, il s’était penchée sur elle et avec violence, l’avait attrapé pour
lui mordre le cou. Elle sentit assez vite quelque chose lui transpercer.
Lorsque l’homme l’avait « enlacé » sans douceur elle avait aussi été
parcouru de grand frisson, c’était quelque seconde après qu’elle avait compris
que l’individu avait la peau glacial. Plusieurs seconde s’étaient écoulées
avant que Prudence ne ressenti plus la douleur et ne percevait plus ce qu’il y
avait autour d’elle, elle n’entendit même pas la voix d’une troisième personne
qui venait de derrière elle.
« - Lâchez-la ! Cria-t-il
d’une voix sûre de lui. »
L’agresseur qui regardait le spectacle
de son ami, ne sursauta pas comme-ci il s’attendait à voir ce type défendre la
jeune fille. Il affichait tout de même un air agacé de le voir devant lui ce
soir.
« - Tu arrives en retard, on
a commencé à dîner sans toi, ironise l’homme à la chevelure long.
- Ordonne à ton frère de la
lâcher Squall !
- Sinon quoi ? Se moqua-t-il
de plus belle, tu te vengeras comme tu t’es vengé pour ta jolie blonde… il fit mine de réfléchir et reprit, a non c’est
vrai, tu n’as pas encore réussit à te venger. Excuse-moi, je dois confondre
avec quelqu’un d’autre. S’amusa-t-il encore plus pour le pousser hors de lui.
- La ferme ! S’emporta l’inconnu
tout en ne cédant pas car il voulait sauver la fille. Je te le demande une
dernière fois ordonne a ton sale vampire de frère de lâcher ! »
L’homme fit un sourire narquois
tout en regardant son voisin qui lui était comme de marbre. Aucune expression
ne s’affichait sur son visage blanc coton. A l’examiner de plus près, sa peau était si parfaite et
blanche que l’on aurait dit une statue de cire. Ses lèvres rosées ainsi que le
fait qu’il ne bougeait pas d’un poil même pas pour cligner des yeux laissait
Prudence dans le doute le plus totale, à savoir qu’elle genre de créature
était-il ?
« -Tu entends ça Jay ? Elle
veut nous guider vers un restaurant… S’amusa-t-il pour ensuite soupirer de désolation.
Elle n’a toujours pas compris que c’était elle notre dîner ! »
Si c’était une plaisanterie pour
la jolie brune, elle était de mauvais goût. Elle regarda rapidement autour d’elle,
cherchant une caméra cachée, mais lorsque sont visage revint sur ses deux
agresseurs, elle vit le visage de celui en tee-shirt se déformer de colère.
Surement avait-il entendu ce qu’elle pensait comme l’autre tout à l’heure mais
ce qui était certain, c’était que maintenant c’était lui qui lui faisait le
plus peur.
- Mieux que ça ma jolie, mieux
que ça, Fit l’homme au manteau noir, les cannibales, ne sont plus à la mode de
nos jours. Tandis que nous, oui…Il prit
un temps arrêt, comme si il réfléchissait puis lança vers son camarade l’ordre
tant attendu. Aller vas-y bouffe-la ! »
Le visage de Prudence, montrait
combien elle était effrayée, si ça vie ne se déroulait pas devant ses yeux à
l’instant même, elle ne pouvait pas s’empêcher de penser à ceux qui l’ont
élevés dans la joie et la tendresse. Bien que ces parents l’aient adopté et
toujours aimé comme leur propre fille, ce soir elle regrettait en quelque sorte
de ne pas connaître ses véritables géniteurs. Elle regrettait une autre chose
aussi… et cette chose était de ne pas avoir eu le bonheur d’être amoureuse au
moins une fois dans sa vie.
Elle ne savait pas comment, mais
il était sûr que ces hommes savaient ce à quoi elle pensait. Du moins celui
accoudé à son copain. Il la regardait avec tant de réjouissance qu’elle en
avait des frisons dans tout le corps. Et évidement, les deux hommes
commençaient à trouver ça ennuyeux, car pour eux c’est toujours les mêmes
réactions qu’ils avaient face à leurs victimes.
« - Laissez-moi partir, s’il
vous plaît ! Je vous en supplie… Réussit-elle à prononcer d’une voix
tremblante, tout en joignant les deux mains. Je vous donnerais tout ce que vous
voulez !
- Mais c’est là le hic, expliqua
l’homme aux cheveux long, tu es obligée de rester avec nous pour nous donner ce
qu’on a besoin. Car vois-tu, avec les médias qui informent les gens de la ville,
à ne plus sortir de chez eux une fois la nuit tombée, nous, maintenant nous
n’avons plus de quoi nous mettre sous la dent.
- Si ce n’est que ça… dit-elle un
temps soit peu rassurée, je peux vous indiquer un restaurant d’ouvert, même si
a cette heure-ci je ne suis pas sûr qu’il y en est encore un d’ouvert. »
Prudence marchait dans les rues
éclairées de Sidney, tête bas et les pieds lourds. Elle n’avait qu’une envie,
rentré chez elle, le plus vite possible, prendre une douche et se faufiler sous
la couette, bien au chaud. C’est alors, qu’elle marchait déjà depuis plus de 20
minutes, qu’elle s’arrêta devant une ruelle. Cette petite rue, mal éclairée
certes mais qui lui ferait gagner plus ou moins 15 minutes sur son trajet. Elle
hésita à passer par le chemin courant qu’elle prenait ou ce raccourci. Si elle
n’avait pas entendu parler des 11 disparitions et des 4 corps retrouvés vidé de
tout leur sang, le choix n’aurait pas été si difficile pour cette jeune femme.
La plus part des corps morts avaient été retrouvé dans cette petite voie, mais
les médias n’avaient jamais vraiment confirmé cela, ils avaient seulement
supposé vaguement cette hypothèse. Alors que faire dans ces cas là ? Avoir
peur de prendre un chemin plus court à cause d’idée surement mal fondées ?
Ou fermer les yeux sur ce que disent les journalistes et gagner 15
minutes ?
« - Après tout, ça n’arrive qu’aux
autres !! Pensa-t-elle tout en commençant à avancer doucement. »
Elle
se dirigea alors dans la ruelle, plus sombre où une odeur d’ordures entassées
flottait. Elle marchait d’un pas plus vif pour se dépêcher tout de même à en
sortir. Quand tout à coup, un jeune homme vêtu d’un simple tee-shirt et d’un
pantalon noir en jean, apparu comme par enchantement. Prudence s’arrêta net, se
demandant comment il avait pu surgir aussi vite, alors que lorsqu’elle s’était
engagée dans ce chemin il n’y avait personne. L’homme était appuyé contre un
lampadaire tout en la regardant fixement, ce qui mettait encore plus mal à l’aise
la jolie brune.
Elle n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche, qu’elle
senti une présence derrière elle. Elle se retourna lentement et surtout prudemment,
comme-ci cette dernière sentait que cela n’avait rien de bon. Prudence vit à ce
moment là, un homme plus vieux, qu’elle détailla de bas en haut. Il était plus
grand et habillé plus chaudement. Il avait une posture sur de lui, il lui
faisait froid dans le dos. L’homme avait les cheveux et long et noir, comme ses
yeux, aucune profondeur, elle ne ressentait même pas de vie dans ce regard qui
lui semblait froid et menaçant. Ce fut le plus jeune qui ouvrit la bouche en
premier.
« - Alors on se ballade ?
- Ce n’est pas vraiment un coin
idéal pour prendre l’air. Continua le second d’une voix rocailleuse. »
Prudence était pétrifiée, sa mâchoire
était comme sellée et ses pieds cloués au sol. Elle ne savait pas quoi faire,
elle n’avait jamais vraiment été confrontée à ce genre de situation effrayante.
Celle qu’on pouvait voir dans les films d’horreurs, mais qu’en tant que spectateur
on ne risque rien. Là elle ne faisait pas que regarder, elle « jouait »
le rôle de celle qui allait surement mourir. Alors qu’elle était ses options ?
Crier ? Non, il n’y avait personnes dans les rues à cette heure-ci.
Prendre la fuite ? Ils sont deux ils n’auront pas de mal a la rattraper
surtout qu’elle était exténuée. L’homme a la longue chevelure s’était déplacé
rapidement pour rejoindre l’autre individu. Accoudé a son épaule, il la
scrutait avec amusement, car pour lui s’était un jeu, un jeu très facile pour eux et difficiles pour
les humaines et ou il n’y a pas vraiment de règle mais beaucoup de triche.
« - Alors, dit-il en prenant
une petite pause, qui fit trembler encore plus la jeune brune, que choisis-tu ?
Crier ou fuir ? »
Bien qu’en temps normal, Callie
adorerait discuter de ce prince charmant version discount, mais ce soir là,
elle coupa court la conversation pour le bien de son amie.
« - On continuera cette
discussion lundi en cours de science, car là j’entends Morphée t’appeler ou
plus tôt t’ordonner d’aller le rejoindre… Fit-elle en la prenant dans ses bras.
- Dis plutôt que tu ne veux plus
de moi, ça serait plus clair. Se moqua Prudence.
- Oh mais non ma Pitchoune,
répondit la rousse en serrant plus fort son étreinte, tu sais que je t’aime ma
sœur de cœur…
- Bien sûr, je te taquinais.
S’amusa la brune en se libérant des bras de son amie.
- A lundi ma poule. Reposes-toi
bien.
- A lundi et merci encore.
Répondit-elle avant de sortir du petit fast-food. »
Et si ce soir là,
Prudence n’était pas partie plus tôt.
Et si ce soir là,
elle serait restée comme à son habitude et que s’était Callie qui serait
partie.
Après avoir passé une tenue plus confortable,
elle s’était dirigée d’un pas lent et sourd vers Callie qui s’apprêtait à
nettoyer la vaisselle entassée de la journée. Prudence semblait gênée de
laisser son amie finir le travail à sa place, ce n’était pas dans ses habitude.
Elle, qui préférait perdre son temps a tout nettoyer correctement, contrairement
a la rousse, qui faisait tout au plus vite. Elle braillait haut et fort, « vite
fait, bien fait » donc quand s’était à Callie de s’en charger elle n’en
avait rien à faire car s’était sur la concernée que ça allait retomber. Mais ce
soir c’était son tour et si son amie bâclé le travail la brune serait
responsable. Voilà ce qui la dérangeait le plus, voir son salaire diminuer.
« - Bon…, commence Prudence
d’une voix pas très rassurée. Je suis prête….. »
Callie se retourna et attrapa un
torchon qui avait mauvaise allure pour s’essuyer les mains. Elle affichait un
large sourire vers sa meilleure amie qui, elle, avait l’air dépité.
« Qui a-t-il ? Tu me
regarde comme-ci j’allais tuer quelqu’un !!
-Oh, euh, non, rien… Je veux
juste…juste Hésita la brune tout en fixant ses pieds.
- Bah
vas-y craches le morceau…
- D’accord. Elle marqua une pause
pour trouver un peu de courage et se jeta à l’eau pour vider son sac. N’oublies
pas de fermer le gaz et les robinets d’eau parce que si ça goute toute la nuit
ils vont avoir une grosse facture… Oh et ferme bien la porte de derrière, ah et
aussi assures-toi que le jukebox soit bien éteint et ….
- ééééééh ! C’est bon là !
Ce n’est pas la première fois que je ferme ! S’amusa la rouquine.
- Oui mais toi tu fais tout a la
vas-vite et moi non….
- Et bien rassures-toi ce soir je
vais m’appliquer à fond pour toi. Ne t’inquiète pas, je sais à quel point ton
salaire est important pour toi. Alors ce soir, je ne vais pas travailler à
moitié, je te le promets. T’es soulagée ?
- Oui… enfin je crois.
- Bon alors qu’est-ce que tu fais
encore dans mes pattes ? Fit-elle sur un ton plus autoritaire. »
Prudence n’était, a l’évidence,
pas pressée de s’en aller ce qui avait pour agacer la jolie rousse qui, elle n’attendait
que ça. Non pas pour être seule, mais parce qu’elle voyait son amie exténuée et
que c’était très rare de la voir ainsi. Elle n’était une battante, jamais a se
plaindre de quoi ce soit.
« - Bah alors ? Tu
attends quoi ? Tu veux que j’appelle Monsieur pot de colle, pour qu’il t’accompagne
jusque chez toi ? Demanda-t-elle en mimant une grimace qui fit sourire sa
copine.
- Non merci, sans façon. Puis c’est
sur toi qu’il a jeté son dévolu pas sur moi. D’ailleurs comment c’est passé ton
rancard avec lui ? »
A voir la tête de Callie,
Prudence comprit assez vite que ce rendez-vous n’avait pas été très glorieux.
Le fameux pseudo gentleman qui avait pour surnom « pot de colle » n’était
autre qu’un certain jeune homme, dénommé Will. 23 ans, une seule conquête à son tableau de
chasse, il avait craqué un soir de forte pluie sur la rousse, en se réfugiant
dans ce restaurant. Et depuis ce jour là, il passait tous les autres soirs pour
boire un café et discuter avec Callie, jusqu'à ce que celle-ci accepte de
passer une soirée en sa compagnie.
« - Pff, a-tro-ce !
Répondit-elle en détachant bien chaque syllabe. Franchement j’ai connu des mecs
assez chiant sur les bords, mais celui là, crois-moi ou non, mais il doit avoir
la médaille planquée dans sa chambre.
- A ce point ? Bah mince
alors, il a l’air plutôt sympa pourtant.
- Ah ben si il te plaît tant que
ça, vas-y ! Prends-le ! Moi je n’en veux plus… un soir pas deux.
Lâcha la rousse toujours en grimaçant.
- Non, non merci. J’ai mes études
et le travail, ça me suffit amplement. »